D’abord, la ministre Freeland s’est engagée à verser 368,4 millions de dollars sur trois ans pour le leadership autochtone dans le secteur, la recherche et le développement en foresterie, la construction de bâtiments à faibles émissions de carbone et le soutien à la commercialisation de produits forestiers canadiens d’origine durable à l’étranger. Aujourd’hui, la ministre des Finances a envoyé un message clair aux travailleurs forestiers canadiens : ils sont parmi les meilleurs au monde dans ce qu’ils font et sont des acteurs essentiels de l’économie sobre en carbone de demain.
Le budget d’aujourd’hui donne également suite à la promesse concernant la biomasse forestière provenant des forêts aménagées de façon durable du Canada. Face à l’aggravation et à la multiplication des incendies de forêt catastrophiques, le budget d’aujourd’hui reconnaît que nous devons faire davantage pour créer de nouveaux marchés pour les fibres et les déchets de bois inexploités, pour réaliser les avantages climatiques de notre biomasse ici, au pays, et pour aider à maximiser les puits de carbone dans nos forêts.
Le budget note à juste titre que la biomasse forestière et les biocombustibles constituent une source d’énergie essentielle et créent une croissance économique indispensable pour les entreprises forestières, les travailleurs et les familles des localités nordiques et rurales.
L’APFC se réjouit de travailler avec le gouvernement fédéral pour s’assurer que ses politiques et ses règlements en matière de climat favorisent la croissance du secteur et que sa série de crédits d’impôt à l’investissement, d’une importance cruciale, inclura des solutions forestières canadiennes. Dans ces conditions, nous pourrons faire travailler plus de gens, accélérer notre passage à une économie plus sobre en carbone et attirer plus d’investissements du secteur privé au Canada. »